« Brutalité capitaliste », « pays ravagé », « dégradation »… Malgré son vocabulaire, Raul Velasco n’est pas économiste mais graveur. Mexicain de Belleville, il aime cette France où il s’est installé il y a trente ans. Triste, il regarde ce pays « brader sa tradition sur l’autel de la finance ».
(D’après une interview par Laure Pouget mai 2013)